Usine automatique de moulin à huile de palme de marque Oweei au Congo

Usine automatique de moulin à huile de palme de marque Oweei au Congo
                                               
                                               
                                               
                                               
  • Usine automatique de moulin à huile de palme de marque Oweei au Congo
Usine automatique de moulin à huile de palme de marque Oweei au Congo
Usine automatique de moulin à huile de palme de marque Oweei au Congo
Usine automatique de moulin à huile de palme de marque Oweei au Congo
Usine automatique de moulin à huile de palme de marque Oweei au Congo
  • Qui a créé le moulin à huile ?
  • C’est en effet le 24 juillet 1982 que trente-cinq Saints-Jeannais et Mageois décident la création de ce moulin à huile. Passé de statut associatif à celui de coopérative, puis redevenu associatif, le moulin, qui a compté plus de 400 adhérents, a toujours fourni aux apporteurs une huile de qualité produite par leurs propres olives.
  • Quels sont les usages de l’huile de palme dans la cuisine congolaise ?
  • Non seulement l’huile de palme se retrouve dans la cuisine congolaise comme ingrédient de routine, mais en plus elle demeure d’usage courant dans la fabrication du savon. La demande allant plus vite que la production aujourd’hui, cette denrée alimentaire de base reste hors de portée pour certaines familles.
  • Pourquoi acheter de l’huile de palme à Kisangani ?
  • Parmi elles figure Akambo. Le prix de l’huile de palme est à la hausse sur des marchés à Kisangani, chef-lieu de la province de la Tshopo dans le nord-est de la RDC et plaque tournante importante du commerce qui compte environ un million d’habitants. Aux dires d’Akambo, peu d’options s’offrent à elle pour nourrir sa famille.
  • Quel sera le marché de l’huile de palme ?
  • Selon les projections des experts, le marché mondial de l’huile de palme dépassera 85 millions de tonnes d’ici à 2024. Au cours des cinq prochaines années, plus de 54 millions d’hectares de terres en Afrique de l’Ouest et centrale seront peut-être convertis en plantations de palmiers pour répondre à cette demande.