Petite presse à huile automatique de palme au Congo

Petite presse à huile automatique de palme au Congo
                                               
                                               
                                               
                                               
  • Petite presse à huile automatique de palme au Congo
Petite presse à huile automatique de palme au Congo
Petite presse à huile automatique de palme au Congo
Petite presse à huile automatique de palme au Congo
Petite presse à huile automatique de palme au Congo
  • Quand le palmier à huile a-t-il été signalé en Afrique ?
  • Le Congo n’avait pas connu l’expansion du commerce de l’huile de palme qui s’était produite en Afrique occidentale, plus particulièrement au Nigeria et au Dahomey (actuel Bénin), à partir de la première moitié du siècle précédent. L’existence du palmier à huile avait été signalée en Afrique dès le milieu du XV ème siècle (Pehaut, p. 244).
  • Quelle est la production totale d'huile de palme au Congo ?
  • Le Congo importe en 2005, 15 000 tonnes (AGRER, p. 55), un peu pour les citadins (ceux qui peuvent en payer le prix) et surtout pour les savonneries. Celles-ci doivent aussi se procurer à l’extérieur au moins 25 % de leurs besoins en huile palmiste. Figure 3. Production totale d'huile de palme au Congo et production exportée (en tonnes).
  • Quel est le premier exportateur d’huile de palme en Afrique ?
  • 4 Le Congo belge était, en 1957, avec 150 000 tonnes, le premier exportateur d’huile de palme en Afrique et le deuxième dans le monde, après les Indes néerlandaises (Drachoussoff, 1991, p. 678). On y voyait la marque d’un incontestable succès. Depuis lors, ces exportations n’ont cessé de diminuer.
  • Quels sont les avantages de l’huile de palme ?
  • D’autre part le déclin du commerce des esclaves a incité les négriers à réorienter leurs activités. L’huile de palme leur apparut comme un des substituts les plus intéressants dans ce qui devint les Oil Rivers, c’est-à-dire le delta du Niger et les rivages du Dahomey et du Togo où les palmeraies touchent à la côte (Pehaut, p. 282).