Expulseur d'huile de palmiste de 50 tonnes au Congo

Expulseur d'huile de palmiste de 50 tonnes au Congo
                                               
                                               
                                               
                                               
  • Expulseur d'huile de palmiste de 50 tonnes au Congo
Expulseur d'huile de palmiste de 50 tonnes au Congo
Expulseur d'huile de palmiste de 50 tonnes au Congo
Expulseur d'huile de palmiste de 50 tonnes au Congo
Expulseur d'huile de palmiste de 50 tonnes au Congo
  • Quel est le premier exportateur d’huile de palme en Afrique ?
  • 4 Le Congo belge était, en 1957, avec 150 000 tonnes, le premier exportateur d’huile de palme en Afrique et le deuxième dans le monde, après les Indes néerlandaises (Drachoussoff, 1991, p. 678). On y voyait la marque d’un incontestable succès. Depuis lors, ces exportations n’ont cessé de diminuer.
  • Pourquoi l’huile de palme a-t-elle disparu du tableau des exportations ?
  • 52 L’huile de palme a disparu totalement du tableau des exportations (figure 3). Plus aucune tonne d’huile n’est chargée dans les ports maritimes. Il n’y a plus qu’un petit trafic transfrontalier d’huile artisanale en direction du Congo-Brazzaville, de l’Angola et de la République centrafricaine. Le marché intérieur est devenu déficitaire.
  • Combien d'huile palmiste le Congo importe-t-il en 2005 ?
  • Le marché intérieur est devenu déficitaire. Le Congo importe en 2005, 15 000 tonnes (AGRER, p. 55), un peu pour les citadins (ceux qui peuvent en payer le prix) et surtout pour les savonneries. Celles-ci doivent aussi se procurer à l’extérieur au moins 25 % de leurs besoins en huile palmiste. Figure 3.
  • Quand le palmier à huile a-t-il été signalé en Afrique ?
  • Le Congo n’avait pas connu l’expansion du commerce de l’huile de palme qui s’était produite en Afrique occidentale, plus particulièrement au Nigeria et au Dahomey (actuel Bénin), à partir de la première moitié du siècle précédent. L’existence du palmier à huile avait été signalée en Afrique dès le milieu du XV ème siècle (Pehaut, p. 244).