Ligne de production d'huile de palme et de tournesol au Congo

Ligne de production d'huile de palme et de tournesol au Congo
                                               
                                               
                                               
                                               
  • Ligne de production d'huile de palme et de tournesol au Congo
Ligne de production d'huile de palme et de tournesol au Congo
Ligne de production d'huile de palme et de tournesol au Congo
Ligne de production d'huile de palme et de tournesol au Congo
Ligne de production d'huile de palme et de tournesol au Congo
  • Quand le palmier à huile a-t-il été signalé en Afrique ?
  • Le Congo n’avait pas connu l’expansion du commerce de l’huile de palme qui s’était produite en Afrique occidentale, plus particulièrement au Nigeria et au Dahomey (actuel Bénin), à partir de la première moitié du siècle précédent. L’existence du palmier à huile avait été signalée en Afrique dès le milieu du XV ème siècle (Pehaut, p. 244).
  • Quelle est la production totale d'huile de palme au Congo ?
  • Le Congo importe en 2005, 15 000 tonnes (AGRER, p. 55), un peu pour les citadins (ceux qui peuvent en payer le prix) et surtout pour les savonneries. Celles-ci doivent aussi se procurer à l’extérieur au moins 25 % de leurs besoins en huile palmiste. Figure 3. Production totale d'huile de palme au Congo et production exportée (en tonnes).
  • Quelle est la production dès Huileries du Congo belge ?
  • 13 Les Huileries du Congo belge 5 ont créé très vite leurs postes et leurs premières usines. Dès 1920, elles produisent un peu plus de 5000 tonnes d’huile et en 1930, 18 000 tonnes (Deconinck, 1996, annexe 9, qui cite Wilson, édition 1954). En 1928, elles emploient 25 000 travailleurs (Deconinck, 1996, p. 43).
  • Pourquoi les Congolais ont-ils repris le secteur ?
  • Certes, des Congolais, hommes d’affaires ou chefs d’entreprise, ont peu à peu repris la quasi-totalité du secteur mais au prix de la disparition de nombreuses usines et de l’abandon de l’exploitation directe des palmeraies â;gées ou bien des palmeraies situées dans les régions de faible rapport, à saison sèche marquée (Kwilu et Kasai).