culture et transformation du palmier à huile au congo

culture et transformation du palmier à huile au congo
                                               
                                               
                                               
                                               
  • culture et transformation du palmier à huile au congo
culture et transformation du palmier à huile au congo
culture et transformation du palmier à huile au congo
culture et transformation du palmier à huile au congo
culture et transformation du palmier à huile au congo
  • Quels sont les facteurs défavorables à la production industrielle d'huile de palme au Congo ?
  • 21 Des essais d’utilisation de l’huile comme carburant pour les engins agricoles ont été effectués dès (...) 76 On a dit déjà qu’un des facteurs défavorables à la production industrielle d’huile de palme au Congo pour la vente sur le marché mondial est l’éloignement des zones de plantations par rapport aux ports maritimes.
  • Quelle est la production totale d'huile de palme au Congo ?
  • Le Congo importe en 2005, 15 000 tonnes (AGRER, p. 55), un peu pour les citadins (ceux qui peuvent en payer le prix) et surtout pour les savonneries. Celles-ci doivent aussi se procurer à l’extérieur au moins 25 % de leurs besoins en huile palmiste. Figure 3. Production totale d'huile de palme au Congo et production exportée (en tonnes).
  • Quand le palmier à huile a-t-il été signalé en Afrique ?
  • Le Congo n’avait pas connu l’expansion du commerce de l’huile de palme qui s’était produite en Afrique occidentale, plus particulièrement au Nigeria et au Dahomey (actuel Bénin), à partir de la première moitié du siècle précédent. L’existence du palmier à huile avait été signalée en Afrique dès le milieu du XV ème siècle (Pehaut, p. 244).
  • Quels sont les avantages de l’huile de palme ?
  • D’autre part le déclin du commerce des esclaves a incité les négriers à réorienter leurs activités. L’huile de palme leur apparut comme un des substituts les plus intéressants dans ce qui devint les Oil Rivers, c’est-à-dire le delta du Niger et les rivages du Dahomey et du Togo où les palmeraies touchent à la côte (Pehaut, p. 282).